Désigné·es comme « terroristes » par l’occupant nazi, des femmes et des hommes, souvent très jeunes, ont eu le courage de s’engager dans des actions de sabotage et de déstabilisation contre l’armée d’occupation.

L’ennemi répondit par une violence systématique : des prisonniers·ères étaient retenu·es comme otages et menacé·es d’exécution après chaque action de la Résistance. C’est ainsi que, par un acte de terreur, vingt-sept résistants furent fusillés le 22 octobre 1941.

Alors que les survivant·es s’effacent peu à peu dans le firmament de la mémoire collective, de nouvelles graines de résistance aux idées de domination, de racisme et d’inégalité continuent de germer. Gardons précieusement le souvenir de leur courage, de leur détermination et de leur solidarité pour nourrir, même dans les jours sombres, la volonté farouche de triompher des idéologies racistes, oppressives et ségrégationnistes.